RACONTER UN PAYS SANS EN PRONONCER LE NOM… Un matin de décembre, Lila, une jeune violoncelliste, joue un air de Bach pour les habitués du Temps suspendu, un café de la rive gauche, à Paris. Parmi eux, il y a le vieux Salomon, un horloger à la retraite qui, grâce à cette musique, voyage vers un ailleurs qu’il croyait oublié. Vers une contrée située de l’autre côté de la Méditerranée, qu’il a fuie cinquante ans auparavant – un lieu dont était aussi originaire le père de Lila.
Commence alors un échange entre deux déracinés, qui se croisent depuis des années, sans vraiment se connaître. Ils se racontent l’exil, la guerre, le temps qui passe, l’amour. Ils partagent cette terre idéalisée qui a vu naître l’un, mais pas l’autre, et qui pourtant prend toute la place. De souvenirs en confessions, c'est toute une existence, tout un pays, qui revient à la vie...
Pourtant, quand se pose la question d’y retourner, le vieux Salomon hésite. À son âge, à quoi bon abîmer ses souvenirs en les confrontant à la réalité ?
Inspiré de la vie du grand-père de l’auteure, qui a un jour quitté l'Algérie pour ne plus jamais y retourner, ce premier roman oscille entre le fantasme du pays que l’on perd et celui que l’on reçoit en héritage.
PHILOSOPHIE MAGAZINE N 188 : OU COMMENCE LA TYRANNIE ? - AVRIL 2025Tous ceux qui sont attachés aux valeurs fondamentales de la démocratie – la liberté d’expression, l’égalité des droits, un certain humanisme – considèrent notre époque avec inquiétude. Alors que la plus puissante des démocraties bascule, les Européens semblent être de plus en plus isolés dans leur défense du modèle démocratique. Que sommes-nous en train de vivre, au juste ?380/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2503002061262
Ces questions se posent, aujourd’hui, à tous les niveaux, tant en Ukraine, où les belligérants vont devoir négocier une paix, qu’en France, où les partis se disputent sur la politique à suivre, que sur nos lieux de travail, en couple ou dans la famille.
Alors, à quel prix faire des compromis ?380/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2503002061254
PHILOSOPHIE MAGAZINE HS N 64 : L'ART DE LA GUERRE - PRINTEMPS 2025« Si vis pacem, para bellum ». Le vieil adage latin le dit à sa manière : la guerre, ça se prépare, ça s'anticipe, ça se pense ; avec l'espoir de l'éviter. Encore faut-il savoir de quoi on parle : force invisible mais suprême qui équilibre le monde et le fait devenir ? Moteur de l'histoire, comme l’affirme Hegel ? Si c'est le cas, changer de moteur s'impose, mais est-ce possible ?
Réponses dans le tout nouveau hors-série de Philosophie magazine consacré à « L’art de la guerre »550/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2503002061240