A Douala, au Cameroun, Jean-Christophe Assamoa, journaliste, est envoyé en prison pour avoir critiqué la femme du Président. Là, il a vent d'affaires mettant en cause de puissantes entreprises pharmaceutiques occidentales. Curieux, il décide de s'évader pour mener l'enquête. Il se réfugie chez un de ses anciens camarades d'université français qui réside en ville. 在喀麥隆的杜亞拉城,記者約翰克里斯多夫因為批評了總統夫人而被送進監獄。他懷疑是那間勢力龐大的藥品公司搞得鬼。在好奇心驅使下,他決定越獄展開調查,並躲藏在從前法國大學同學的家裡。
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Dans certains pays, critiquer la femme du Président vous conduit tout droit en prison. Et en prison, il fait chaud, encore plus chaud que sous le soleil d Afrique qui plombe les rues. Les secrets qui y traînent risquent même de vous brûler les ailes. Des secrets qui mettent en cause de puissantes entreprises pharmaceutiques occidentales et qu un petit journaliste camerounais trop curieux ferait mieux d ignorer. Pour Jean-Christophe Assamoa, il est temps de prendre la tangente. Mais dans Douala la grouillante, il n est pas facile de se cacher des regards indiscrets. Par chance et par hasard, Assamoa apprend qu un de ses anciens camarades d université français réside en ville. C est à lui qu il demandera de l aide. Mais même pour un « expat » blanc, les choses ne sont pas simples. Le recours à des intermédiaires influents et aux « gombos », ces bakchichs que tout le monde convoite, ne suffisent pas toujours à protéger un homme traqué... Gérard Delteil exerce pendant dix ans la profession de crayeur (dessinateur de trottoirs) après des études aux Beaux-Arts. Cette expérience lui a fourni la matière d un de ses romans les plus connus, N oubliez pas l artiste (Fleuve Noir 1985, Folio 1992). De multiples petits boulots le conduisent au journalisme puis à l écriture. Il a publié plus de cinquante romans noirs qui s appuient le plus souvent sur des enquêtes (consacrées aux prisons, aux trafics de viande, aux dangers de l industrie chimique...) menées tant en France qu à l étranger. Aux éditions Liana Levi sont parus en 1985 Le Miroir de l Inca et en 1987 Festin de crabes. Il a reçu le Prix Quai des Orfèvres 1993 pour Pièces détachées (Fayard).
LE PASSE-PARTOUTLa résidence K, édifice de brique rouge abritant des femmes célibataires, apparaît aux habitants de Tokyo comme une demeure tranquille pour dames respectables. Lorsque le passe-partout qui permet de pénétrer dans les cent cinquante chambres de l'immeuble disparaît de la loge de la gardienne, les locataires retiennent leur souffle. Car la clé n'ouvre pas seulement les portes, elle donne aussi accès aux secrets les plus intimes des résidentes. Certaines d'entre elles ont tout intérêt à brouiller les pistes...470/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2503002058665
AUX PORTES DE L'ETERNITE - SIECLE 31961. Les Allemands de l’Est ferment l’accès à Berlin-Ouest. La tension entre États-Unis et Union soviétique s’exacerbe. Le monde se scinde en deux blocs. Confrontées à toutes les tragédies de la fin du xxe siècle, plusieurs familles – polonaise, russe, allemande, américaine et anglaise – sont emportées dans le tumulte de ces immenses troubles sociaux, politiques et économiques. Chacun de leurs membres devra se battre et participera, à sa manière, à la formidable révolution en marche. Tout à la fois saga historique, roman d’espionnage, histoire d’amour et thriller politique, Aux portes de l’éternité clôt la fresque magistrale de la trilogie du Siècle, après La Chute des géants et L’Hiver du monde.
Ken Follett obéit autant à la véracité historique qu’aux lois du suspense romanesque. Impressionnant. Macha Séry, Le Monde des livres.
Un récit haletant, dense et complexe. Un pavé qui se lit d’une traite. Nina Sorel, Historia.1,370/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2503002058646
TOUT LE MONDE AIME CLARAClara voit au-delà des apparences. Ceux qui la connaissent la redoutent autant qu'ils l'admirent. Car elle ne prédit pas seulement l'avenir, elle l'éveille.1,100/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2503002058520
PATRONYMEAttendue sur le plateau de La Grande Librairie pour parler de son livre, Le Consentement, l’autrice est appelée par la police pour venir reconnaître le corps sans vie de son père, qu’elle n’a pas revu depuis dix ans. Dans l’appartement de banlieue parisienne où il vivait, et qui fut jadis celui de ses grands-parents, elle est confrontée à la matérialisation de la folie de cet homme toxique, mythomane et misanthrope, devenu pour elle un étranger. Tandis qu’elle s’interroge, tout en vidant les lieux, sur sa personnalité énigmatique, elle tombe avec effroi sur deux photos de jeunesse de son grand-père paternel, portant les insignes nazis. La version familiale d’un citoyen tchèque enrôlé de force dans l’armée allemande après l’invasion de son pays par le Reich, puis déserteur caché en France par celle qui allait devenir sa femme, et travaillant pour les Américains à la Libération avant de devenir « réfugié privilégié » en tant que dissident du régime communiste, serait-elle mensongère ? C’est le début d’une traque obsessionnelle pour comprendre qui était ce grand-père dont elle porte le nom d’emprunt, quelle était sa véritable identité, et de quelle manière il a pu, ou non, « consentir », voire collaborer activement, à la barbarie. Au fil de recherches qui s’étendront sur deux années, s’appuyant sur les documents familiaux et les archives tchèques, allemandes et françaises, elle part en quête de témoins, qu’elle retrouvera en Moravie, pour recomposer le puzzle d’un itinéraire plausible, auquel il manquera toujours des pièces. Comment en serait-il autrement dans une Tchécoslovaquie qui a changé cinq fois de frontières, de nationalité, de régime, prise en tenaille entre les deux totalitarismes du XXème siècle ? À travers le parcours accidenté d’un jeune homme pris dans la tourmente de l’Histoire, c’est toute la tragédie du XXème siècle qui ressurgit, au moment où la guerre qui fait rage sur notre continent ravive à la fois la mémoire du passé et la crainte d’un avenir de sauvagerie. Dans ce texte kaléidoscopique, alternant fiction et analyse, récit de voyage, légendes familiales, versions alternatives et compagnonnage avec Kafka, Gombrowicz, Zweig et Kundera, Vanessa Springora questionne le roman de ses origines, les péripéties de son nom de famille et la mythologie des figures masculines de son enfance, dans une tentative d’élucidation de leurs destins contrariés. Éclairant l’existence de son père, et la sienne, à l’aune de ses découvertes, elle livre une réflexion sur le caractère implacable de la généalogie et la puissance dévastatrice du non-dit.1,210/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2503002057899