Narek Djamshid rentre en Iran après 25 ans d'absence. A la veille de l'élection de M. Ahmadinejad, le pays est en pleine campagne présidentielle. Narek a rendez-vous avec Leila Tahibi, féministe islamique et candidate. Ils sont témoins du meurtre d'un juge haut placé, l'ayatollah Kanuni. L'enquête permet de revenir sur la période sanglante qui a marqué l'instauration de la République islamique. 25年後,內哈克再度回到伊朗。在阿曼尼內賈德當選的前一晚,全國陷入總統選舉的運動。內哈克會見了伊斯蘭女性主義者同時也是女總統候選人萊拉。他們倆都是高等法官拉雅托拉謀殺案的證人。這場調查將回溯至建立伊斯蘭共和國時最血腥的時刻。
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Téhéran, juin 2005, veille de l élection de Mahmoud Ahmadinejad. L ayatollah Kanuni, un juge tout-puissant qui préside depuis 25 ans à la répression des opposants iraniens, est retrouvé assassiné dans son bureau du Palais de justice. S agit-il d une revanche des Moudjahedin du peuple? Ou bien est-ce un nouveau règlement de comptes entre mollahs? Malgré eux, trois personnages se trouvent mêlés à cette affaire. Narek Djamshid, qui, après avoir quitté l Iran enfant avec son père pour se réfugier à Paris, rentre pour la première fois dans ce pays. Leila Tabihi, une « féministe islamique » qui tente en vain de se présenter aux élections présidentielles depuis des années. Mirza Mozaffar, ancien politicien, homme public en déclin, mais membre toujours fringuant de la jet set téhéranaise et don juan infatigable. Ces trois points de vues sur l Iran structurent ce roman qui nous fait découvrir que les mollahs sont des hommes d affaires comme les autres, mais aussi que la boisson préférée de la jeunesse iranienne est le Parsi Cola ! L enquête policière permet de revenir sur la période sanglante qui a marqué l instauration de la République islamique. Narek éclaircira ainsi les circonstances de la mort de sa propre mère, au lendemain de la révolution de 1979. Enfin, en filigrane, sont évoquées les raisons de la victoire de l'actuel président iranien Mahmoud Ahmadinejad. Naïri Nahapétian est née en 1970 en Iran, pays qu elle a quitté après la révolution islamique. Journaliste free-lance durant quelques années, elle a fait de nombreux reportages en Iran (pour la revue Arabies, Le Journal de Genève, Le Nouveau Quotidien, Politis, Charlie hebdo, Témoignage chrétien...). Elle travaille actuellement pour Alternatives économiques, et a publié un essai intitulé L Usine à vingt ans (Les Petits matins, 2006).
LE PASSE-PARTOUTLa résidence K, édifice de brique rouge abritant des femmes célibataires, apparaît aux habitants de Tokyo comme une demeure tranquille pour dames respectables. Lorsque le passe-partout qui permet de pénétrer dans les cent cinquante chambres de l'immeuble disparaît de la loge de la gardienne, les locataires retiennent leur souffle. Car la clé n'ouvre pas seulement les portes, elle donne aussi accès aux secrets les plus intimes des résidentes. Certaines d'entre elles ont tout intérêt à brouiller les pistes...470/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2503002058665
AUX PORTES DE L'ETERNITE - SIECLE 31961. Les Allemands de l’Est ferment l’accès à Berlin-Ouest. La tension entre États-Unis et Union soviétique s’exacerbe. Le monde se scinde en deux blocs. Confrontées à toutes les tragédies de la fin du xxe siècle, plusieurs familles – polonaise, russe, allemande, américaine et anglaise – sont emportées dans le tumulte de ces immenses troubles sociaux, politiques et économiques. Chacun de leurs membres devra se battre et participera, à sa manière, à la formidable révolution en marche. Tout à la fois saga historique, roman d’espionnage, histoire d’amour et thriller politique, Aux portes de l’éternité clôt la fresque magistrale de la trilogie du Siècle, après La Chute des géants et L’Hiver du monde.
Ken Follett obéit autant à la véracité historique qu’aux lois du suspense romanesque. Impressionnant. Macha Séry, Le Monde des livres.
Un récit haletant, dense et complexe. Un pavé qui se lit d’une traite. Nina Sorel, Historia.1,370/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2503002058646
TOUT LE MONDE AIME CLARAClara voit au-delà des apparences. Ceux qui la connaissent la redoutent autant qu'ils l'admirent. Car elle ne prédit pas seulement l'avenir, elle l'éveille.1,100/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2503002058520
PATRONYMEAttendue sur le plateau de La Grande Librairie pour parler de son livre, Le Consentement, l’autrice est appelée par la police pour venir reconnaître le corps sans vie de son père, qu’elle n’a pas revu depuis dix ans. Dans l’appartement de banlieue parisienne où il vivait, et qui fut jadis celui de ses grands-parents, elle est confrontée à la matérialisation de la folie de cet homme toxique, mythomane et misanthrope, devenu pour elle un étranger. Tandis qu’elle s’interroge, tout en vidant les lieux, sur sa personnalité énigmatique, elle tombe avec effroi sur deux photos de jeunesse de son grand-père paternel, portant les insignes nazis. La version familiale d’un citoyen tchèque enrôlé de force dans l’armée allemande après l’invasion de son pays par le Reich, puis déserteur caché en France par celle qui allait devenir sa femme, et travaillant pour les Américains à la Libération avant de devenir « réfugié privilégié » en tant que dissident du régime communiste, serait-elle mensongère ? C’est le début d’une traque obsessionnelle pour comprendre qui était ce grand-père dont elle porte le nom d’emprunt, quelle était sa véritable identité, et de quelle manière il a pu, ou non, « consentir », voire collaborer activement, à la barbarie. Au fil de recherches qui s’étendront sur deux années, s’appuyant sur les documents familiaux et les archives tchèques, allemandes et françaises, elle part en quête de témoins, qu’elle retrouvera en Moravie, pour recomposer le puzzle d’un itinéraire plausible, auquel il manquera toujours des pièces. Comment en serait-il autrement dans une Tchécoslovaquie qui a changé cinq fois de frontières, de nationalité, de régime, prise en tenaille entre les deux totalitarismes du XXème siècle ? À travers le parcours accidenté d’un jeune homme pris dans la tourmente de l’Histoire, c’est toute la tragédie du XXème siècle qui ressurgit, au moment où la guerre qui fait rage sur notre continent ravive à la fois la mémoire du passé et la crainte d’un avenir de sauvagerie. Dans ce texte kaléidoscopique, alternant fiction et analyse, récit de voyage, légendes familiales, versions alternatives et compagnonnage avec Kafka, Gombrowicz, Zweig et Kundera, Vanessa Springora questionne le roman de ses origines, les péripéties de son nom de famille et la mythologie des figures masculines de son enfance, dans une tentative d’élucidation de leurs destins contrariés. Éclairant l’existence de son père, et la sienne, à l’aune de ses découvertes, elle livre une réflexion sur le caractère implacable de la généalogie et la puissance dévastatrice du non-dit.1,210/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2503002057899