Sous le règne de Louis XIV. Un matin, le lieutenant de police Nicolas de la Reynie reçoit un pli anonyme l'avertissant qu'un trafic de perruques sévit à Paris et que les trafiquants ont infusé à dessein la peste dans ces ornements pileux dans le but avoué de répandre le mal dans la capitale. Dieudonné Danglet va être chargé de découvrir l'auteur de la lettre et de démasquer les trafiquants... _x000d_
故事發生於路易十四的時代,國王的中尉Nicolas de la Reynie收到一封黑函,告知他有些奸商計畫著將帶有鼠疫的老鼠挾帶進入巴黎市區,散播疫情。士官長Danglet被任命調查此信的作者,並且揭開這些奸商的真面目..._x000d_
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ZF000057
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1807220002647
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On les attendait, les revoilà. Avec La peste blonde, les héros des Croix de Paille sont de retour pour de nouvelles aventures. Entre les deux livres, à peine un an s'est écoulé. La même durée sépare l'action des deux histoires. Dieudonné d'Anglet a maintenant 21 ans et travaille toujours pour Nicolas de la Reynie, le premier lieutenant de police directement nommé par Louis XIV. Fleur, Cyclope, Atlas, Saint-Gris sont toujours de la partie, de la Reynie s'est remarié, Dieudonné d'Anglet est amoureux et Paris complote toujours autant. La routine... jusqu'au jour où Monsieur de la Reynie reçoit une étrange lettre. La peste fait son entrée dans la capitale par le biais d'un trafic de perruques volontairement infestées. Dieudonné d'Anglet et son armée de gueux sont face à un odieux complot dont ils doivent démêler l'intrigue. Une fois de plus, Philippe Bouin nous entraîne dans une série d'aventures rondement menées. L'action enchevêtre en permanence fiction et réalité. Dieudonné d'Anglet, personnage imaginaire, côtoie aussi bien Nicolas de la Reynie, véritablement préfet de police à l'époque, que Molière ou Colbert. Des notes de bas de page viennent brouiller les pistes comme pour mieux entretenir le suspense. La fameuse lettre, prétexte à l'intrigue a réellement existé. «De la Reynie a bien reçu cette lettre anonyme le Ier mai», lit-on. Et la langue de l'époque, revisitée avec truculence par Philippe Bouin, plonge le lecteur dans un XVIIème siècle plus vrai que nature. L'occasion de redécouvrir quantité d'expressions et de jurons aujourd'hui oubliés. Mais là encore, le doute plane sur la véracité des mots. Vous avez dit mystère ? ... Flore de Lesquen
LE PASSE-PARTOUTLa résidence K, édifice de brique rouge abritant des femmes célibataires, apparaît aux habitants de Tokyo comme une demeure tranquille pour dames respectables. Lorsque le passe-partout qui permet de pénétrer dans les cent cinquante chambres de l'immeuble disparaît de la loge de la gardienne, les locataires retiennent leur souffle. Car la clé n'ouvre pas seulement les portes, elle donne aussi accès aux secrets les plus intimes des résidentes. Certaines d'entre elles ont tout intérêt à brouiller les pistes...470/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2503002058665
AUX PORTES DE L'ETERNITE - SIECLE 31961. Les Allemands de l’Est ferment l’accès à Berlin-Ouest. La tension entre États-Unis et Union soviétique s’exacerbe. Le monde se scinde en deux blocs. Confrontées à toutes les tragédies de la fin du xxe siècle, plusieurs familles – polonaise, russe, allemande, américaine et anglaise – sont emportées dans le tumulte de ces immenses troubles sociaux, politiques et économiques. Chacun de leurs membres devra se battre et participera, à sa manière, à la formidable révolution en marche. Tout à la fois saga historique, roman d’espionnage, histoire d’amour et thriller politique, Aux portes de l’éternité clôt la fresque magistrale de la trilogie du Siècle, après La Chute des géants et L’Hiver du monde.
Ken Follett obéit autant à la véracité historique qu’aux lois du suspense romanesque. Impressionnant. Macha Séry, Le Monde des livres.
Un récit haletant, dense et complexe. Un pavé qui se lit d’une traite. Nina Sorel, Historia.1,370/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2503002058646
TOUT LE MONDE AIME CLARAClara voit au-delà des apparences. Ceux qui la connaissent la redoutent autant qu'ils l'admirent. Car elle ne prédit pas seulement l'avenir, elle l'éveille.1,100/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2503002058520
PATRONYMEAttendue sur le plateau de La Grande Librairie pour parler de son livre, Le Consentement, l’autrice est appelée par la police pour venir reconnaître le corps sans vie de son père, qu’elle n’a pas revu depuis dix ans. Dans l’appartement de banlieue parisienne où il vivait, et qui fut jadis celui de ses grands-parents, elle est confrontée à la matérialisation de la folie de cet homme toxique, mythomane et misanthrope, devenu pour elle un étranger. Tandis qu’elle s’interroge, tout en vidant les lieux, sur sa personnalité énigmatique, elle tombe avec effroi sur deux photos de jeunesse de son grand-père paternel, portant les insignes nazis. La version familiale d’un citoyen tchèque enrôlé de force dans l’armée allemande après l’invasion de son pays par le Reich, puis déserteur caché en France par celle qui allait devenir sa femme, et travaillant pour les Américains à la Libération avant de devenir « réfugié privilégié » en tant que dissident du régime communiste, serait-elle mensongère ? C’est le début d’une traque obsessionnelle pour comprendre qui était ce grand-père dont elle porte le nom d’emprunt, quelle était sa véritable identité, et de quelle manière il a pu, ou non, « consentir », voire collaborer activement, à la barbarie. Au fil de recherches qui s’étendront sur deux années, s’appuyant sur les documents familiaux et les archives tchèques, allemandes et françaises, elle part en quête de témoins, qu’elle retrouvera en Moravie, pour recomposer le puzzle d’un itinéraire plausible, auquel il manquera toujours des pièces. Comment en serait-il autrement dans une Tchécoslovaquie qui a changé cinq fois de frontières, de nationalité, de régime, prise en tenaille entre les deux totalitarismes du XXème siècle ? À travers le parcours accidenté d’un jeune homme pris dans la tourmente de l’Histoire, c’est toute la tragédie du XXème siècle qui ressurgit, au moment où la guerre qui fait rage sur notre continent ravive à la fois la mémoire du passé et la crainte d’un avenir de sauvagerie. Dans ce texte kaléidoscopique, alternant fiction et analyse, récit de voyage, légendes familiales, versions alternatives et compagnonnage avec Kafka, Gombrowicz, Zweig et Kundera, Vanessa Springora questionne le roman de ses origines, les péripéties de son nom de famille et la mythologie des figures masculines de son enfance, dans une tentative d’élucidation de leurs destins contrariés. Éclairant l’existence de son père, et la sienne, à l’aune de ses découvertes, elle livre une réflexion sur le caractère implacable de la généalogie et la puissance dévastatrice du non-dit.1,210/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2503002057899