Si l'hypnose est le plus souvent réduite à un phénomène de soumission, de fascination, d'insensibilité, c'est que notre culture, qui a peu de moyens pour la penser, en retient seulement le négatif ou l'ombre portée. En réalité, l'hypnose est un état de veille intense, à l'instar du sommeil profond à partir duquel nous rêvons. De même que ce sommeil profond conditionne l'éclosion du pouvoir de rêver, de même cette veille intense nous fait accéder au pouvoir de configurer le monde. L'hypnose devient alors une vigilance accrue qui met à notre disposition les paramètres constitutifs de notre existence. Ouverte aux dimensions de notre monde, elle s'oppose à la veille restreinte que nous connaissons dans notre vie de tous les jours. Loin d'être passive, l'hypnose nous permet, par l'imagination, d'anticiper et de transformer nos comportements et nos agissements. Elle sollicite notre capacité à décider de notre place en relation avec les autres et notre environnement. En ce sens, elle relève non pas de la psychologie, mais d'une cosmologie. La pratique de l'hypnose, cette veille plus large et plus fine, peut devenir un art de vivre. Elle suppose un apprentissage qui n'a rien d'ésotérique et qui se contente de prendre appui sur les possibilités présentes en chacun. Cet ouvrage est paru en 1994.
Si l'hypnose est
le plus souvent réduite à un phénomène de soumission, de fascination,
d'insensibilité, c'est que notre culture, qui a peu de moyens pour la penser, en
retient seulement le négatif ou l'ombre portée.
En réalité, l'hypnose est un état de veille intense, à l'instar du sommeil
profond à partir duquel nous rêvons. De même que ce sommeil profond conditionne
l'éclosion du pouvoir de rêver, de même cette veille intense nous fait accéder
au pouvoir de configurer le monde. L'hypnose devient alors une vigilance accrue
qui met à notre disposition les paramètres constitutifs de notre existence.
Ouverte aux dimensions de notre monde, elle s'oppose à la veille restreinte que
nous connaissons dans notre vie de tous les jours.
Loin d'être passive, l'hypnose nous permet, par l'imagination, d'anticiper et de
transformer nos comportements et nos agissements. Elle sollicite notre capacité
à décider de notre place en relation avec les autres et notre environnement. En
ce sens, elle relève non pas de la psychologie, mais d'une cosmologie.
La pratique de l'hypnose, cette veille plus large et plus fine, peut devenir un
art de vivre. Elle suppose un apprentissage qui n’a rien d'ésotérique et qui se
contente de prendre appui sur les possibilités présentes en chacun.
Quatrième de couverture
Si l'hypnose est le plus souvent réduite à un phénomène de soumission, de
fascination, d'insensibilité, c'est que notre culture, qui a peu de moyens pour
la penser, en retient seulement le négatif ou l'ombre portée En réalité,
l'hypnose est un état de veille intense, à l'instar du sommeil profond à partir
duquel nous rêvons. De même que ce sommeil profond conditionne l'éclosion du
pouvoir de rêver, de même cette veille intense nous fait accéder au pouvoir de
configurer le monde.
L'hypnose devient alors une vigilance accrue qui met à notre disposition les
paramètres constitutifs de notre existence. Ouverte aux dimensions de notre
monde, elle s'oppose à la veille restreinte que nous connaissons dans notre vie
de tous les jours.
Loin d'être passive, l'hypnose nous permet, par l'imagination, d'anticiper et de
transformer nos comportements et nos agissements. Elle sollicite notre capacité
à décider de notre place en relation avec les autres et notre environnement. En
ce sens, elle relève non pas de la psychologie, mais d'une cosmologie.
La pratique de l'hypnose, cette veille plus large et plus fine, peut devenir un
art de vivre. Elle suppose un apprentissage qui n'a rien d'ésotérique et qui se
contente de prendre appui sur les possibilités présentes en chacun.
CHANTS D'ADIEUAprès la disparition soudaine de son fils, mort d'un arrêt cardiaque provoqué par une maladie non diagnostiquée, Denise Riley s'adresse aux trois registres du chant, du récit et de la théorie pour questionner sous trois angles l'expérience du deuil parental. C'est d'abord, dans l'ensemble de poèmes « A Part Song » (extrait du recueil Say Something Back), qu'elle construit un chant polyphonique et brisé qui fait entendre le sens désormais incertain de son existence. Puis, dans la première partie de Time Lived, Without its Flow, elle fait le récit presque quotidien de ce deuil, nous faisant vivre autant la temporalité immobile qui le caractérise, confrontant le langage aux limites du dicible. Enfin, la seconde partie de Time Lived, Without its Flow tente de circonscrire et de penser, par les moyens de la théorie, cette expérience particulière du temps. Au final, un triptyque bouleversant sur le deuil, la douleur, l'absence et le sens de l'existence.
Traduit de l'anglais par Guillaume Condello770/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2501191920002
CE QUE MURMURENT LES ANIMAUX« Mourir, naître, revivre. Embrasser le cycle des saisons, naviguer avec les éléments. Passer de la domination à la coexistence, de l'abus à la résilience. Remettre en question les croyances limitantes de l'être humain, connecté malgré lui à tout, sauf à l'essentiel : à notre essence en tant qu'individu, à notre essence en tant qu'espèce, et à celle de nos colocataires à poils, à plumes ou à écailles, avec lesquels nous partageons une même grande maison. Ces quelques enseignements sont le fruit d'années passées et présentes aux côtés de ceux que l'on considère majoritairement comme des biens de compagnie ou de rente : les animaux. C'est en présence de Tawaki, Priya, Ondée, Devi, Maya, Elyan, Alaska, Meli ou encore Jahmane que j'apprends quotidiennement sur le fonctionnement de notre monde et sur notre juste place dans cet univers, que l'on porte autant qu'il nous porte, sans pouvoir le maîtriser. Que ces individus soient des chiens, des cochons, des vaches ou des moutons importe peu. Ce qui compte, c'est ce qu'ils ont à transmettre, en étant simplement qui ils sont. C'est à leurs côtés, aussi surprenant que cela puisse paraître, que j'ai réappris à être humaine et à redécouvrir mon espèce sous un oeil nouveau. »770/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2501191920001
UN MONDE SANS ENFANTSLa France a été le premier pays au monde à voir sa natalité baisser, et en 2024 le président parle de « réarmement démographique ». Partout, la fécondité chute de façon vertigineuse, deux tiers des pays du monde ne font plus assez d’enfants pour renouveler leur population. En 2100, y aura-t-il encore des enfants en Corée du Sud ? L’Italie est-elle vouée à disparaître ? On ne mesure ni la profondeur ni la rapidité de ce bouleversement, qui est peut-être le plus marquant de l’humanité.
Plutôt que de céder à la peur, cet ouvrage invite à prendre la mesure du choc à venir, et à se défier de ceux qui voudraient l’instrumentaliser.
Le monde entre en hiver démographique et celui-ci sera rude. Mais quel printemps suivra ?1,270/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2501091920002
LE PATIENT CANNIBALENathalie von Zelowitz est psychologue en prison. Depuis dix ans, elle écoute les confessions d’un homme qui en a mangé un autre. Il s’appelle Bernard. Contrairement aux auteurs de crimes cannibales qui, le plus souvent, ont été jugés irresponsables, Bernard purge sa peine dans un centre pénitentiaire. C’est là, dans cet établissement qui abrite des détenus ingérables, que la psychologue écoute son patient. Au fil des séances, elle aborde à travers lui la notion de monstruosité. Elle partage aussi ses doutes, ses émotions, sa réflexion sur ce tabou ultime, l’anthropophagie. Et contre toute attente, Bernard nous apparaît par bien des aspects presque familier. Une plongée vertigineuse, personnelle et documentée aux sources du Mal.1,130/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2501091920001