LA CAUSE DES ADOLESCENTS RESPECTER LEUR LIBERTE ET LEURS DIFFERENCES
LA CAUSE DES ADOLESCENTS RESPECTER LEUR LIBERTE ET LEURS DIFFERENCES
商品編號:
1807220000808
商品貨號:
192000629
商品條碼:
9782266131506
品牌:
網路售價:
NT$530元
La méthode Dolto dans toute sa perfection, la suite logique de La cause des enfants.
C'est le 6 novembre 1908 que naît Françoise Dolto, petite dernière d'une fratrie de 7 enfants. Elle fait ses études au cours Malatret, à Paris, puis au Lycée Molière où elle suit une terminale section philosophie. Elle décide ensuite de s'orienter vers des études d'infirmière et obtient son diplôme le 16 juin 1930. Mais elle ne compte pas s'arrêter là. Intéressée par la médecine en général et la pédiatrie en particulier, elle commence des études de médecine qui seront pour elle l'occasion enrichissante de rencontrer Edouard Pichon, qui deviendra son maître et son guide. Parallèlement elle fait la connaissance de Sophie Morgenstern passionnée par les dessins d'enfants, et qui sensibilisera Françoise Dolto à l'univers riche de ces derniers et à leur utilisation en thérapie d'enfants.
C'est en 1934 qu'elle débute une Analyse avec René Laforgue, analyse qui fut son premier pas décisif dans son chemin de thérapeute. Elle rencontre Jacques Lacan, grand psychanalyste du moment, dans le cadre de la Société Psychanalytique de Paris, et nouera avec lui des liens d'amitiés et d'échanges théoriques. Elle termine ses études de médecine par une thèse: Psychanalyse et pédiatrie qui marque définitivement son orientation pour l'enfance. Elle ouvre rapidement un cabinet, effectue ses premières consultations et épouse en 1942 un médecin russe, Boris Dolto, dont elle aura 3 enfants.
Petit à petit, elle enrichit son expérience, multiplie ses interventions de formation auprès de publics divers allant des infirmières aux psychologues. Sa capacité à rentrer dans le monde de l'enfant et son indéniable faculté à expliquer les phénomènes et concepts psychologiques de manière simple et concrète, l'amèneront peu à peu sur la scène médiatique. Elle réalise des émissions radio grand public, et rédige des ouvrages pour sensibiliser les adultes au monde particulier de l'enfance. Elle décède à Paris le 25 août 1988, laissant derrière elle l'image d'une psychanalyste au contact formidable ou celle d'une thérapeute aux méthodes trop "magiques" pour être acceptables ! En tout cas, cette grande dame ne laisse personne indifférent et les réactions passionnées à son sujet sont la preuve que la psychanalyse s'est bien infiltrée dans la société...
CHANTS D'ADIEUAprès la disparition soudaine de son fils, mort d'un arrêt cardiaque provoqué par une maladie non diagnostiquée, Denise Riley s'adresse aux trois registres du chant, du récit et de la théorie pour questionner sous trois angles l'expérience du deuil parental. C'est d'abord, dans l'ensemble de poèmes « A Part Song » (extrait du recueil Say Something Back), qu'elle construit un chant polyphonique et brisé qui fait entendre le sens désormais incertain de son existence. Puis, dans la première partie de Time Lived, Without its Flow, elle fait le récit presque quotidien de ce deuil, nous faisant vivre autant la temporalité immobile qui le caractérise, confrontant le langage aux limites du dicible. Enfin, la seconde partie de Time Lived, Without its Flow tente de circonscrire et de penser, par les moyens de la théorie, cette expérience particulière du temps. Au final, un triptyque bouleversant sur le deuil, la douleur, l'absence et le sens de l'existence.
Traduit de l'anglais par Guillaume Condello770/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2501191920002
CE QUE MURMURENT LES ANIMAUX« Mourir, naître, revivre. Embrasser le cycle des saisons, naviguer avec les éléments. Passer de la domination à la coexistence, de l'abus à la résilience. Remettre en question les croyances limitantes de l'être humain, connecté malgré lui à tout, sauf à l'essentiel : à notre essence en tant qu'individu, à notre essence en tant qu'espèce, et à celle de nos colocataires à poils, à plumes ou à écailles, avec lesquels nous partageons une même grande maison. Ces quelques enseignements sont le fruit d'années passées et présentes aux côtés de ceux que l'on considère majoritairement comme des biens de compagnie ou de rente : les animaux. C'est en présence de Tawaki, Priya, Ondée, Devi, Maya, Elyan, Alaska, Meli ou encore Jahmane que j'apprends quotidiennement sur le fonctionnement de notre monde et sur notre juste place dans cet univers, que l'on porte autant qu'il nous porte, sans pouvoir le maîtriser. Que ces individus soient des chiens, des cochons, des vaches ou des moutons importe peu. Ce qui compte, c'est ce qu'ils ont à transmettre, en étant simplement qui ils sont. C'est à leurs côtés, aussi surprenant que cela puisse paraître, que j'ai réappris à être humaine et à redécouvrir mon espèce sous un oeil nouveau. »770/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2501191920001
UN MONDE SANS ENFANTSLa France a été le premier pays au monde à voir sa natalité baisser, et en 2024 le président parle de « réarmement démographique ». Partout, la fécondité chute de façon vertigineuse, deux tiers des pays du monde ne font plus assez d’enfants pour renouveler leur population. En 2100, y aura-t-il encore des enfants en Corée du Sud ? L’Italie est-elle vouée à disparaître ? On ne mesure ni la profondeur ni la rapidité de ce bouleversement, qui est peut-être le plus marquant de l’humanité.
Plutôt que de céder à la peur, cet ouvrage invite à prendre la mesure du choc à venir, et à se défier de ceux qui voudraient l’instrumentaliser.
Le monde entre en hiver démographique et celui-ci sera rude. Mais quel printemps suivra ?1,270/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2501091920002
LE PATIENT CANNIBALENathalie von Zelowitz est psychologue en prison. Depuis dix ans, elle écoute les confessions d’un homme qui en a mangé un autre. Il s’appelle Bernard. Contrairement aux auteurs de crimes cannibales qui, le plus souvent, ont été jugés irresponsables, Bernard purge sa peine dans un centre pénitentiaire. C’est là, dans cet établissement qui abrite des détenus ingérables, que la psychologue écoute son patient. Au fil des séances, elle aborde à travers lui la notion de monstruosité. Elle partage aussi ses doutes, ses émotions, sa réflexion sur ce tabou ultime, l’anthropophagie. Et contre toute attente, Bernard nous apparaît par bien des aspects presque familier. Une plongée vertigineuse, personnelle et documentée aux sources du Mal.1,130/mainssl/modules/MySpace/PrdInfo.php?sn=llp&pc=2501091920001